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Peter May est un écrivain écossais, installé dans le Lot, dans le sud-ouest de la France, passionné par la Chine, membre honoraire de l’Association des auteurs chinois de romans policiers.  Il a d’abord été journaliste avant de devenir l’un des plus brillants scénaristes de la télévision écossaise.  Il a finalement décidé de quitter le monde de la télévision pour se consacrer à ses romans.

Passionné par la Chine, il écrit tout d'abord une série chinoise de six polars traduits au Rouergue.

Sa nouvelle trilogie se deroule en Écosse. L'ÎLE DES CHASSEURS D'OISEAUX, premier opus de la trilogie écossaise et paru au Rouergue en 2009, a été très remarqué.  Le deuxième volume L'HOMME DE LEWIS sort en octobre 2011.

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Comment un type en jupe a-t-il pu se faire ouvrir les portes de la police chinoise?

C'est la question que vous pourrez poser à Peter May en personne lorsqu'il viendra présenter, en librairie, la version française de son thriller "Meurtres à Pékin", dont l’action se déroule en Chine

Cet écossais d'1m90, qui arbore une longue queue de cheval et s’habille en kilt, a pu accéder aux coulisses des enquêteurs en criminologie chinois pour effectuer les recherches nécessaires à ses romans.

Il s’est rendu dans des lieux en principe interdits aux non-initiés, a rencontré des médecins légistes et des experts en médecine légale à la morgue de la police ainsi que dans les centres médico-légaux de Shangai et Pékin.

A présent, ses fans les plus enthousiastes comptent de nombreux policiers chinois. Peter May a même une rubrique dans leur magazine "Detective World" ( le monde de l'enquête) qui a récemment traduit “Meurtres à Pékin” pour le faire paraître en feuilleton.

“Meurtres à Pékin” est un mystère absolument passionant que le lecteur suit en compagnie de Margaret Campbell,médecin légiste de Chicago, à travers les bas-quartiers de Pékin, avec l’inspecteur LiYan.

Peter May est très pointilleux sur la documentation, ce qui l'a parfois plongé dans des situations périlleuses, sinon effrayantes, mais son sens de l'humour ne l’a jamais quitté une seconde.

Expert en bonnes manières chinoises, il peut facilement répondre à des questions comme:

Peter May discute l'écriture de
Meutres à Pékin